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Astérisque chez les romains (ou presque…).

J’ai longtemps pris pour de la frime un peu lourdingue l’habitude qu’ont les Italiens de ne jamais se départir, quelque soit l’heure du jour ou de la nuit, de leurs lunettes de soleil.

Je viens seulement de comprendre qu’en fait, c’est juste une précaution nécessaire pour éviter l’éblouissement total en cas de rencontre inopinée avec une femme habillée en WHO’S WHO. Il faut dire que depuis 2002, la marque transalpine aligne à chaque nouvelle saison des créations pour le prêt-à-porter toutes plus lumineuses les une que les autres. Et en 2011, on ne dérogera pas à la règle et tant pis pour nos mirettes.

Miss Chabada, la boutique qui, en terme de sélection d’articles, ne se met jamais le doigt dans l’oeil, vous propose les modèles printemps-été tout frais, tout chaud de WHO’S WHO. La fantaisie des lignes, la sensualité des matières et surtout l’incroyable maîtrise des agencements polychromiques justifient la réputation d’excellence de la jeune mais déjà célèbre marque qui affiche son logo, un astérisque, dans les vitrines des plus grands magasins du monde entier. Une mode véritablement généreuse et affriolante pour irradier la beauté féminine.

Sinon, pour en revenir aux habitudes de nos amis italiens, si je viens de comprendre pour les lunettes noires, je reste dans l’expectative la plus totale en ce qui concerne l’obligatoire chaîne en or autour du cou…

 

 

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